Blog de Frenchwrestler31

J’ai rencontré mon Hollandais volant (et violent) lors d’un voyage aux Pays-Bas. J’avais pris rendez-vous avec lui grâce à notre site préféré MF. Il se disait amateur de gutpunching et vantait la résistance de ses abdos. J’ai eu envie d’essayer cette pratique qui me tentait sans l’avoir jusqu’ici expérimentée. On s’est retrouvés sur la place centrale de la ville et nous sommes allés en vélo jusqu’à sa jolie maison hollandaise. Très calé en architecture il m’a fait les honneurs de sa ville en me faisant apprécier les plus beaux immeubles Art Deco. Chez lui on a bu un café et la discussion s’éternisait. J’avais un peu peur de le combattre car il m’apparaissait très sportif musclé et plus entraîné que moi quoique du même âge et sensiblement de même taille et poids (juste un peu moins grand). Enfin on est montés dans sa chambre et on s’est déshabillés pour ne garder que le slip. On a opté pour un combat à mains nues de lutte avec coups. On a commencé par s’envoyer quelques coups de poings dans les abdos à tour de rôle pour se chauffer. Mais sans appuyer les coups. Puis on s’est mis en position de lutte debout face à face à côté du grand lit qui nous tendait son matelas. Crâne contre crâne ( le sien était rasé) épaule contre épaule se poussant et s’écartant des bras en essayant de se saisir du corps de l’autre. Il avait une grande force et me poussait de ses bras mais dans un sursaut je l’ai amené contre son lit et je l’y ait poussé en tentant un étranglement de mon bras autour de son cou. Nos deux corps enchevêtrés, arcqueboutés, nos muscles bandés, nos nerfs tendus. Je réussis à monter sur lui et je l’étranglais de toute mes forces mais il résistait en empoignant mes bras de ses mains fortes comme des étaux. Quand j’arrivai a me libérer je lui envoyais quelques coups de poings dans le ventre, les abdos et le dos mais il résistait et me répondait tout en restant sous moi, collé à moi. En fait, quand je commençais à fatiguer il me retournait et prenait à son tour l’ascendant. Nous luttâmes ainsi au moins trois longs rounds sans qu’il y ait de réel vainqueur, moi le dominant puis lui me résistant et me surprenant. Il me força à taper, notamment alors qu’il était sur moi et avait pris ma tête entre ses cuisses pendant que je tentais de prendre la sienne entre mes cuisses en position tête bêche. Je voyais et sentais son slip blanc bien rempli par ses couilles au dessus de mon visage. Je tapais car je ne supporte pas d’être coincé et étouffé alors que lui est beaucoup plus résistant et endurant. Je réussissais en général, avec ce Hollandais si résiliant, à prendre l’avantage initial et à le renverser sur le lit et à lui faire étranglements et étouffements mais il n’abandonnait jamais. Nous fîmes un break car nous étions tous deux épuisés et en sueur. Nous bûmes beaucoup d’eau. Il m’avoua qu’il était surpris par ma force mais m’assurait qu’il pouvait me résister. Nous étions très excités et heureux mais le match ne prit pas une tournure sexuelle comme parfois quoique le contact de nos deux slips, le mien humide car je mouille beaucoup lorsque je suis excité, et nos éteintes musclées semblaient nous faire de l’effet à tous deux. Nous nous lançâmes dans un dernier assaut debout face à face faisant le tour de la pièce en se poussant l’un contre l’autre et en essayant de faire trébucher l’autre et lui placer une prise. Mais j’étais trop fatigué et notre temps était compté. On décida d’arrêter sans vainqueur. J’allais me doucher nu dans la pièce à côté et repensait à tous ces moments intenses de lutte homme à homme pendant qu’il nous préparait un café. « On se sent vivants hein? » me lança t il, heureux, en me donnant ma tasse. «Oui ça fait du bien » lui répondis-je. J’étais heureux et vivant en effet après ce combat rude et viril où aucun finalement n’avait eu le dessus ou bien seulement à tour de rôle . J’avais montré ma force mon énergie et ma volonté de domination, lui sa souplesse, sa résistance et sa technique. Nous avions lutté en hommes fiers et rugueux sans faux semblant. Nous nous sommes promis de nous rencontrer à nouveau pour se battre à nouveau, lors d’un de mes voyages en Hollande, ou s’il venait en France. Ce sera avec un vrai plaisir partagé je crois, le plaisir de la bagarre pleine d’adrénaline et de sueur, où nos corps exsudent à la fois la peur d’être vaincu et la joie de la domination, un parfum inimitable de mâles en rut et qui donne tellement de saveur à la vie.