Duel de géants
- Frenchwrestler31
- 12/08/2022
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Deux matelas par terre dans la petite chambre surchauffée. Deux mecs s'avancent, deux gaillards autour du 1m90 et des 90 kg. Lui est un peu plus petit que moi, 4 à 5 cm, mais il pèse bien 5 kg de plus. Je suis poilu et plus mince, lui imberbe et un peu plus enveloppé. Mais on voit bien que sous sa peau glabre saillent des muscles développés par une longue pratique de l'aviron. L'adrénaline est à son comble. On n'a même pas pris le temps de se parler, il vient juste d'arriver et on se déshabille tous les deux à toute vitesse. Moi j'ai déjà mon singlet sous mon t-shirt et mon jean, lui l'enfile en vitesse. Nos tenues de lutte sont exactement les mêmes, bleu de France, même marque, même échancrure sur les hanches. On rigole : "c'est internet, dit-il, on a commandé les mêmes". Ca y est on est prêts tous les deux, les pieds nus sur le matelas, courbés en avant on se prend les bras sur les épaules et chacun essaye de faire tomber l'autre à terre. On se jette littéralement l’un sur l'autre comme deux morts de faim. Il est diablement fort et je me retiens en trouvant un point d'appui providentiel contre un meuble à côté du matelas. J'évite la chute. Nos muscles sont bandés dans l'effort. Je réussis à passer mon bras autour de son cou et je serre . J'appuie sur sa tête et réussis à le mettre à terre, son corps sous le mien, il me serre avec ses bras pour m'amener au sol mais je serre son cou encore plus fort. Je sens son crâne rasé, ses cheveux courts , et sa barbe qui me grattent. Je prend sa tête dans mes bras. Nos muscles et nos membres s'épousent. Il tente d'enserrer mes jambes dans les siennes et je résiste. Je ne lâche pas ma prise autour de son cou et je serre. Je ne le lâche pas. Il commence à souffrir. J'échappe à ses cuisses puissantes. Il est sous moi et je le tiens avec mon bras enroulé autour de son cou qui serre et ne le lâche pas comme dans un étau. Je n'arrive plus à respirer. Lui non plus. J'essaye d'un mouvement brusque de prendre sa tête entre mes jambes mais il m'échappe. Je réussis à replacer mon bras autour de son cou et à l'étrangler. Je tiens son corps sous le mien, enserré dans mes jambes. Je sens sa bite gonfler sous le singlet contre la mienne. Je la caresse et la triture à travers sa tenue de lutte. Il tape enfin au sol. 1-0. On reprend notre souffle, accroupis, nos fesses sur nos talons, l'un en face de l'autre. On reprend le face à face, courbés, tendus l'un contre l'autre, à genoux. Cette fois il prend le dessus, il m'allonge au sol et monte sur mon corps, il me bloque avec ses deux genoux sur mes épaules et ses bras tendent les miens au sol. Il monte encore d'un cran, je sens sa bite et ses couilles à travers son singlet contre mon visage. Je ne peux plus respirer. Il enlève le haut de son singlet et sort sa bite, énorme, pour m'en frapper le visage. Il descend aussi mon haut de singlet. Il me pince les tétons et me branle d'une main tandis que je ne peux plus bouger sous son poids. Je n'arrive pas à respirer et tape au sol pour abandonner. 1-1. On se sépare et on reprend nos souffles. Il se déshabille à la hâte et j'en fais de même jetant mon singlet en boule à proximité. On est tous les deux complètement à poil et luisants de sueur, essoufflés par l'effort. On reprend notre calme et l'on se jette tout à coup, nus, l'un contre l'autre. Là c'est une débauche de muscles, de force, de sueur, de prises, d'étranglements, de pincement de tétons, de serrage des boules dans la main, de branlage mutuel, nos corps roulent l'un sur l'autre, on passe de la lutte brutale à l'étreinte sensuelle, de la domination à la soumission, les rôles s'intervertissent, les doigts rentrent dans les culs, il me force à avaler son énorme bite et et à sucer ses grosses couilles et son trou du cul. Mais je m'assois aussi sur son visage et sa langue fourre mon trou pendant que je coince sa tête entre mes cuisses serrées. On se donne quelques coups dans le ventre et les côtes. On se serre et s'enlace. Il finit assis au-dessus de mon torse et se branle frénétiquement sur ma poitrine. Sa semence gicle dans les poils de mon ventre. La bataille a été formidable. La concentration de la bagarre m'a fait débander. Dans la pièce, flotte un parfum de sueur et de sperme. Deux alphas cherchant à prendre le dessus. Deux corps en rut, deux mâles de force et de gabarit à peu près similaires. Un plaisir immense à se mesurer ainsi à égalité. Il part à la douche et je le suis. Lorsque je sors de la cabine il est déjà habillé. On parle enfin un peu et puis il s'en va. J'espère bien un jour recommencer cette bataille virile d'égo, de puissance, et de muscle.
La première fois
- Frenchwrestler31
- 11/18/2022
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Je devais avoir 12 ou 13 ans et j’étais dans un lycée privé de garçons. Nous étions au gymnase en cours de gym et le prof n’était pas là. Pour l’attendre, avec un camarade nous nous sommes retrouvés en survêtements, aujourd’hui on dit jogging, sur le matelas de réception utilisé pour le saut en hauteur. Nous nous sommes mis à lutter tous les deux comme on le fait souvent à cet âge là entre cousins et copains. Les autres élèves de la classe étaient occupés à d’autres choses et nous pouvions nous étreindre nous enlacer et placer diverses prises pour tenter de nous soumettre sans aucune retenue. Le jeu de départ a provoqué l’excitation réciproque et le combat est devenu plus furieux, nous avions très chaud et nos corps en sueur se frottaient à travers nos vêtements de sport : étranglements, placages, prises diverses… imbriqués l’un à l’autre nous étions par moments bloqués et suffocants, dominant et dominé, bientôt nous avons senti tous les deux nos sexes se durcir et bander sous le pantalon de jogging se frottant l’un contre l’autre. C’était la première fois que cela m’arrivait et nous étions tous les 2 un peu groggys et très excités a la fois. Nos sexes durs semblaient se battre comme le reste de nos corps sous les joggings qui étaient tout mouillés. Je ne sais pas comment cela se serait terminé si un camarade ne s’était approché de nous et s’était moqué un peu : «alors les amoureux ça frotte». Mon partenaire s’appelait Pascal, il était plus petit que moi mais plus trapu, musclé et fort que moi, pas vraiment beau mais excitant, et je me suis toujours rappelé ce premier emoi partagé et, hélas , interrompu. A chaque fois que j’ai lutté ensuite avec un garçon ou un homme, habillé ou nu, ca a toujours été dans l’idée plus ou moins assumée de retrouver cette excitation, ce désir, ce frémissement et ce plaisir partagés du corps à corps et du combat sensuel.
Rip and strip entre cadres sup
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Le cambrioleur puni
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Le vélo trotter lutteur
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On s’était promis de lutter nus dans mon appart contre la promesse de le laisser passer la nuit sur le canapé. Il avait passé la journée au soleil sur sa bécane. Après avoir garé son vélo, son équipement et rangé son chargement, et après avoir bu un verre d’eau il s’est mis à poil comme moi. J’avais mis mon matelas par terre dans le salon. J’étais assez excité par la perspective de lutter nu. On est rentrés et j’ai fermé la baie vitrée et les volets. Il était beaucoup plus petit et léger que moi. Je n’ai eu aucun mal à le mettre à terre et à le dominer. Je lui ai placé diverses prises et étranglements. Pour m’amuser je l’ai laissé serrer ma tête entre ses cuisses malingres. Cette prise s’appelle un headscissors. Pas désagréable d’être pris ainsi en tenaille. Je me suis facilement délivré, en force, et j’ai placé à mon tour sa tête entre mes cuisses et j’ai serré; Je suis passé au-dessus de lui, tête bêche. Je n’ai pas serré trop fort et j’ai senti tout de suite sa bouche s’ouvrir sur mon sexe déjà dur et l’embrasser longuement. C’était plutôt une douce succion qui n’en finissait pas. C’était très agréable et il semblait très expert en la matière. Je me mis à effectuer un long mouvement de va et vient dans sa bouche et je pris sa petite queue dans ma main. Elle était légèrement bandée mais assez molle. Il gémissait en me suçant longuement et semblait y prendre beaucoup de plaisir. Au bout d’un moment toutefois je m’arrêtais. Il avait l’air fatigué par sa journée et je ne voulais pas qu’il tombe dans les pommes. On décidait de se rhabiller, car la fraicheur du soir tombait et le vent se levait, et d’aller boire un verre et dîner dans un resto en bord de plage, dans la résidence nudiste voisine. Après il a couché sur le canapé et au petit matin, il est parti poursuivre son tour de France à vélo.